Publié le 26 Juin 2015
Quel est le nom de cet oiseau.J'avais cru à une Bergeronette.Mais finalement je ne le pense pas.Avez vous un avis ? Merci de votre aide.
Le blog photos de Chatillon sur Indre et de son canton
Entre Berry et Touraine, Chatillon sur Indre situé au bord de l'Indre vous offre un lieu de repos et de quiétude ou il fait bon se ressourcer.
Publié le 26 Juin 2015
Quel est le nom de cet oiseau.J'avais cru à une Bergeronette.Mais finalement je ne le pense pas.Avez vous un avis ? Merci de votre aide.
Publié le 20 Juin 2015
Se promenait dans les environs
Ce qui ressemblait à un héron
Un photographe eut ma foi pas tort
D'enfermer dans une boite ce héron
Depuis l'on ne parle,non sans raisons
Du fameux héron qui demeure en Chatillon.
Jipé
Photos ci dessous prises à Chatillon en bordure de l'indre au lieu dit "la Pierre Plate"
Distance 70 metres avec beaucoup de végétation devant.
Publié le 14 Juin 2015
En tout homme someille un renard.Espérons
qu'un loup ne prendra jamais sa place.
Auteur inconnu
Publié le 3 Mai 2015
Le Héron de Chatillon sur Indre.Photos prises au lieu dit :
"le pré de la porte".
A une distance de 345 métres.
Publié le 30 Octobre 2014
Pour rappel quelques noms berrichon d'oiseaux.
Accenteur mouchet : mouchet chanteur, fauvette d'hiver, traîne-buissons.
Alouette des champs
: mauviette.
Alouette lulu
: biclu (Le Pont-Chrétien).
Bécassine des marais
: chieuve volante.
Bergeronnette grise
: hoche-queue (attribué à toutes les bergeronnettes), cligne-queue, lavandière, demoiselle (Bagneux).
Bouvreuil
: ébourgeonneux.
Bruant jaune, zizi
: brulant, jauneret, jaunet (Chasseneuil, Le Pont-Chrétien).
Canard siffleur
: fluteux ( Dun le Poêlier, Meusnes).
Chardonneret
: échardonnet, échardin.
Chevalier guignette
: cul blanc (Chabris, vallée du Cher).
Chouette chevêche
: chavoche.
Chouette effraie
: chavant moucheté, oisieau d'la mort.
Chouette hulotte
: chavant (femelle : chavoche, petits : chavochons), chat-hoint.
Cochevis huppé
: guerluchée.
Corbeau, corneille
: coualle (couâle), couère, couare, couèse, couase, grolle (agrole).
Engoulevent
: tette-chieuves, crapiaud volant, chauche-branches.
Epervier
: faucheret, fauchet, éparvier.
Etourneau
: sansounet, égeasse gar.
Faucon crécerelle
: équercnelle (Chabris), cristèle, écarcelle, scarcelle, émouchet-tricelet (Ardentes)
Faucon hobereau
: aubériau (Boischaut sud).
Fauvette à tête noire
: gorgeat, tête noire.
Foulque
: judelle.
Geai
: ricard.
Gobemouche gris
: pique-mouche.
Grèbe castagneux
: plongeon.
Grèbe huppé
: chieuve d'eau.
Grimpereau :
grimpeur.
Grive draine
: trille, trée (Paulnay).
Grive litorne
: tcha-tcha, tia-tia, quié-quia.
Hibou moyen duc
: chavant à oreilles.
Hirondelle de fenêtre
: cul blanc – prononcer "tchu blanc" – (Chabris, Varennes).
Hirondelle
rustique : arondelle, oiseau du bon Dieu.
Huppe
: boutte-boutte, pupu (puput, pie-pue), coq merdeux, turlutaine.
Linotte
: vardrin ou verdrin (Champagne berrichonne), charbonnier (femelles et jeunes en hiver).
Loriot
: garde-viau, alouyou, lureau, lourioux (Ardentes), louzioux (Chabris).
Martinet
: carrelet, voleur (Bagneux).
Merle noir
: bec jaune, merlaud, marlot.
Mésange à longue queue
: tcheue longue, queue de poêle ou queue de poëlon.
Mésange bleue
: ardrelle (arderelle), ardrolle (ardrole), cendrille, pique-abeilles, ardriche, ardrèche.
Mésange charbonnière
: croquabeille, charbounière, serrurière, binetue (Issoudun), croque-abeille, ardèche.
Moineau
: pétras, quiave - prononcer "tchave" – (Champagne berrichonne), quia, moigneau franc (Buzançais), grous bé, pierrot, éparse.
Oedicnème
: équerlu, querlu (Champagne berrichonne), corlu, écorlu (Gehée, St-Martin-de-Lamps, Sougé), cerlut, chiguerlu (Ardentes), turlu (Varennes-sur-Fouzon, Chabris), tourlu (Ecueillé), écouillerie (région de Bourges).
Outarde
: canepétrolle, canepétière (Champagne berrichonne), pétra.
Perdrix
: pardrix.
Pic vert
: pique-bouais, pivar, oisieau d'la pleue.
Pie
: ajasse (ageasse), égyasse, ouasse, agasse, aguiasse, margot, couèse (La Vernelle, Varennes-sur-Fouzon).
Pie-grièche grise
: égujerse garelle, margot gare (Chabris).
Pie-grièche écorcheur
: picharache, agace perquerasse, margot pisserotte (Meusnes, Varennes-sur-Fouzon).
Pigeon colombin
: p'tit bleu (Levroux).
Pinson des arbres
: ta-hin, toui, dix-huit, touin.
Pouillot
: touite.
Roitelet
: roibertau, roibri, souci.
Rossignol
: rassigneux.
Rouge-gorge
: reuche, rouiche, ruche, tiriti.
Rougequeue
: rubiette, cul-rouge, vitra (Ardentes).
Sarcelle d'hiver
: canard bertet, p'tit bert' (Chabris, Varennes).
Publié le 28 Juillet 2014
Abeille,pollen et fleurs.Chatillon sur Indre.Fonds d'écrans gratuits libres de droits.Par Jipé
Publié le 21 Novembre 2012
Publié le 30 Avril 2012
Publié le 26 Avril 2012
Publié le 24 Avril 2012
Pour agrandir l'image passez votre souris sur celle-ci et cliquez quand votre flèche devient une main.
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Publié le 24 Avril 2012
Publié le 4 Avril 2012
Les photos ci-dessous sont libres de droits,vous pouvez les emprunter ,je vous les offre.
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Grand Cormoran
Le Grand Cormoran, ou Cormoran commun (Phalacrocorax carbo), est une espèce d'oiseau aquatique qui appartient à la famille des phalacrocoracidés. Son aire de distribution est très vaste (Europe, Asie, Océanie, Afrique, et une frange orientale de l'Amérique du Nord) ; on y distingue habituellement cinq à huit sous-espèces.
Cet oiseau a une taille moyenne de 90 cm (84 à 98 cm) pour 150 cm d'envergure en moyenne (de 130 à 160 cm) et un poids de 2 à 3,7 kg.
Le Grand cormoran vit près de plans d'eau douce, saumâtre ou salée, riches en poissons, mais présentant un courant faible ou nul ; il évite généralement les plans d'eau trop petits ou aux eaux trop profondes. Ce peut être un estuaire, un delta, une mangrove, une baie abritée, un lac, un étang, voire un canal ou un port, port d'eau douce ou une marina.
Quand il ne pêche pas, il se perche très souvent sur un support en hauteur, où il se fait également sécher. Quand un même bosquet d'arbres sert chaque année à la fois de perchoir dortoir lieu de nidification constant à une colonie de cormorans (en bordure de marais souvent), leurs feuilles sont "brûlées" par les fientes de ces oiseaux. Il vit sur une très large aire de distribution (Europe, Asie, Océanie, Afrique, et une frange est de l'Amérique du Nord). Les populations sont concentrées dans les zones où les conditions sont favorables à l'espèce et l'aire de répartition est donc discontinue. Cette aire s'étend entre 74°N et 47°S
Cette espèce peut être sédentaire, partiellement migratrice ou migratrice selon les populations considérées. Seules les populations les plus septentrionales migrent ; toutes les autres sont sédentaires ou se dispersent en dehors de la saison de reproduction. Les populations migratrices réalisent des mouvements migratoires variables : par exemple, les individus de la sous-espèce Phalacrocorax carbo sinensis vivant en Europe centrale migrent vers la Méditerranée jusqu'au Golfe Persique. Les Phalacrocorax carbo carbo européens ne font guère que se disperser en hiver, gagnant souvent la côte (mais de nombreux individus restent dans les terres en Irlande) alors que les populations américaines de cette même sous-espèce (Canada, Groenland, Maine aux États-Unis) migrent vers le sud, certains individus allant jusqu'au New-Jersey, en Caroline du Nord ou du Sud, voire en Floride. Les populations australiennes se dispersent en fonction des inondations ou des sècheresse.
Geai des chênes
Le Geai des chênes (Garrulus glandarius) est une espèce de passereaux de la famille des Corvidae.
Le geai des chênes est reconnaissable à son plumage coloré, rayé de noir et blanc sur la tête, dont les plumes peuvent se dresser (huppe érectile). Son bec est prolongé par une bande noire sous l'œil qui donne l'impression qu'il porte des sortes de moustaches noires.
Son corps est brun rosé sur le dessus et brun plus clair sur le dessous, sa queue est noire, son croupion et son bas-ventre blanc, ses rémiges primaires des ailes sont bleu vif et noir.
Le plumage des jeunes n'est complet qu'au bout d'une vingtaine de jours, et se révèle plus terne que celui des adultes. Ils ne possèdent que quelques stries blanches et noires au sommet de la tête, alors que les adultes en possèdent une dizaine, et la marque noire qui prolonge le bec est moins marquée que chez les adultes.
Son régime alimentaire est omnivore: il se nourrit de larves et d'insectes comme la mésange et le moineau et il a aussi une alimentation végétale. Il affectionne particulièrement les glands des chênes qu'il cache pour l'hiver, et en particulier du chêne pédonculé. Il se régale de préférence de glands qu'il sélectionne rigoureusement en fonction de leur maturité, de leur taille et de leur qualité, en particulier, il veille à ce qu'ils soient exempts de parasites. Au printemps et en été, il se nourrit des glands enterrés et qui ont germé, mais aussi d'autres graines diverses, qu'il n'hésite pas à aller chercher dans les cultures à la lisière des bois. Il apprécie particulièrement le maïs, qui dans certaines zones est devenu une part importante de sa consommation, mais il n'est pas réellement considéré comme nuisible du fait que ses prélèvements sont suffisamment limités et localisés.
Il peut à l'occasion être prédateur et n'hésite pas à s'attaquer aux nids des autres oiseaux pour manger les œufs et même les oisillons (mais ce qui arrive très rarement), ce qui lui a donné une solide réputation de pilleurs de nids.
Sous son bec, il possède une petite poche dans laquelle il peut aisément stocker les graines qu'il récolte. La capacité de cette poche est de trois à quatre glands qu'il peut ainsi transporter avant de les cacher, car tout au long de l'automne, il se constitue des réserves, qu'il dissimule sous des racines, des mousses, à l'intérieur de souches d'arbre ou même sous le tapis de feuilles. Pour retrouver ses réserves, il a la capacité de mémoriser des points de repères qu'il observe soigneusement. Lorsque les points de repères ne sont pas suffisants, il va jusqu'à placer à côté de sa cachette des petits cailloux qu'il utilisera comme autant de balises. Cependant si ses points de repères sont déplacés ou disparaissent, le geai des chênes devient incapable de retrouver la cachette de ses réserves.
Ainsi le geai des chênes est le meilleur propagateur des chênes et des hêtres. Il a été estimé que chaque geai des chênes disperse plus d'un millier de glands chaque année. Il en mange une partie d'entre eux et en oublie une autre qui pourra germer et croître.
Dans les parcs et jardins des villes, il apprécie les arachides, les vers, les légumes, les céréales, les noix et les baies. La femelle pond de 3 à 6 œufs de couleur verdâtre, d'avril à juin.L'observation du geai des chênes est assez facile, toute l'année, mais plus aisée en zone urbaine qu'en forêt. En ville, il semble le plus actif, tôt le matin
Photos de JP
Photos de JP
Mésange bleue
La Mésange bleue (Cyanistes caeruleus) est une espèce de passereaux de la famille des paridés.
Plus petite que la Mésange charbonnière (11,5 cm pour un poids de 9 à 12 g), elle se caractérise par sa calotte, son dos, ses ailes et le dessus de sa queue bleus, ses joues et son front blancs, un bandeau noir sur les yeux, sa poitrine et son ventre jaunes, ce dernier étant parfois marqué d'une très fine ligne noire.
Les sexes sont presque indiscernables dans la nature, la femelle étant seulement un peu plus terne que le mâle.
Son envergure est comprise entre 12 et 14 cm.
Cette espèce est présente dans toute l'Europe à l'exception du nord de la Scandinavie. Elle est sédentaire ou migratrice et occupe presque tous les habitats : bois de feuillus, haies, parcs, jardins... Elle vit jusqu'à 1200 mètres en montagne.
Commune, toujours très active et familière, c'est une visiteuse habituelle des mangeoires en hiver. Cette mésange est très acrobate et se suspend volontiers aux boules de suif. Elle aime également s'ébrouer dans les mares peu profondes afin de rafraîchir son plumage.
Elles entrelacent mousses et brindilles de leur logis avec de la lavande, de la menthe, des immortelles, et d'une demi-douzaine d'autres herbes odorantes, plantes connues pour contenir des composés phénoliques tels le camphre ou l'eucalyptol, et qui possèdent des qualités antiseptiques, insecticides ou fongicides. Pour repérer ces herbes très spéciales, les mésanges sont donc capables de se servir de leur odorat, ce dont on doutait pour de si petits oiseaux.
On dit que la mésange zinzinule ou zinzibule, son cri devient strident à l'approche d'un danger, elle avertit ainsi ses proches ou cherche à intimider ses adversaires, comme la mésange charbonnière.
La mésange bleue bénéficie d'une protection totale sur le territoire français depuis l'arrêté ministériel du 17 avril 1981 relatif aux oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire. Il est donc interdit de la détruire, la mutiler, la capturer ou l'enlever, de la perturber intentionnellement ou de la naturaliser, ainsi que de détruire ou enlever les œufs et les nids, et de détruire, altérer ou dégrader son milieu. Qu'elle soit vivante ou morte, il est aussi interdit de la transporter, colporter, de l'utiliser, de la détenir, de la vendre ou de l'acheter s'il s'agit d'oiseaux prélevés dans le milieu naturel. Depuis l'arrêté de mars 2006 et pour respecter la réglementation européenne, ces interdictions ne s'appliquent plus aux oiseaux nés et élevés en captivité.
Photos JP
Photos de JP 04.2012
Texte de wikipedia