Publié le 31 Janvier 2012

Chaillou.Chatillon.JP (2)

 

 

Chaillou.Chatillon.JP (20)

Le trous au manants".......D'après "mon guide" ce trou servait a passer le fusil pour tenir à distances les divers manants et maraudeurs qui s'approchaient du château vérifier quand même, car le ton enjoué de mon "guide" ne m'a pas entièrement convaincu......

 

 

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Vue de 3/4 arriere

 

 

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Chaillou.Chatillon.JP (28)

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Rédigé par Ville de Chatillon

Publié dans #Chateau de Chaillou

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Publié le 28 Janvier 2012

La bourgade primitive de Loches est citée par Grégoire de Tours sous le nom de Lucca ou vicus Loccae. Le site sous la dénomination érudite de castrum luceae est déjà occupé par les Romains qui ont placé la petite cité à la frontière de la province d'Aquitaine. Quelques traces de cette époque subsistent : on a retrouvé au lieu dit Cornillé (Corniliacus ou villa de Cornelius) des pièces d'or de l'époque romaine; l'aqueduc romain de Contray, dont des piliers sont encore debout, témoignent d'une exploitation agricole antique; enfin le bénitier de la Collégiale saint Ours provient d'une colonne gallo-romaine dédiée aux dieux de l'Olympe.

 

La christianisation est marquée par l'établissement au Ve siècle, d'une église dédiée à sainte Marie-Madeleine, par Saint Eustache, évêque de Tours. En 491, Ursus de Cahors connu sous le nom de Saint Ours, implante un monastère dans la partie nord de l'actuelle cité médiévale et construit un moulin sur l'Indre pour les moines. À sa mort en 508, Senoch lui succède à la tête du monastère, il a donné son nom à un village voisin: Saint-Senoch.

 

 

Loches.RD. (2)

 

 

 

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Source : Photos de JP © /texte de Wikipedia

 

 

 

 

 

 

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Rédigé par Ville de Chatillon

Publié dans #Chateaux de la Loire

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Publié le 28 Janvier 2012

 

 

 

 

 

 

Quand vous avez tort……..ne dites rien

Quand vous avez raison….ne dites rien

C'est un des  moyens de garder son bien

 

 

 

Bruno Montagnes ©

 

 

 

 

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Rédigé par Ville de Chatillon

Publié dans #Reflechissons à Chatillon

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Publié le 28 Janvier 2012

Loches

 

 

 

 

Loches (2)

 

 

C'est en passant à Loches lors d'une promenade que j'ai remarqué ces deux textes.J'ignore si c'est une citation d'un auteur  ou un simple point de vue.Celui ou celle qui connaitrait l'origine de ces textes sont priés de me l'indiquer pour mon érudition personnelle.Merci à vous. 

 

 

 

 

 

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Rédigé par Ville de Chatillon

Publié dans #Curieux et insolite

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Publié le 27 Janvier 2012

Chaillou.Chatillon.JP (10)Pont Levis

Emplacement des logements ou passaient les chaines de l'ancien pont levis.Partie maintenant cachée par des constructions.

 

 

Chaillou.Chatillon.JP (11)

Parties droite et gauche des chaines.

 

 

Chaillou.Chatillon.JP (12)

Toiture cachant l'ancienne fortification.Les traces des rainures ou passaient les chaines du pont se trouvent à droite de la photo.

 

 

 

Chaillou.Chatillon.JP (15)

Poterne de l'ancienne porte.

 

 

  

 

Chaillou.Chatillon.JP (18)

 Facade du coté gauche(en regardant le chateau par la cour principale d'entrée.)

 

  

 

 

  NB: A notre connaissance,le chateau ne se visite pas,mais il est rattaché,ainsi que celui de Pouzieux à l'histoire de Chatillon sur Indre.

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Rédigé par Ville de Chatillon

Publié dans #Chateau de Chaillou

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Publié le 27 Janvier 2012

 

 

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Un pauvre n'est pas riche, un riche n'est pas pauvre. La seule différence entre les deux ! Le pauvre peut rêver d'être riche, et le devenir, alors que le riche ne rêvera jamais d'être pauvre et le devenir quand même.

 

 

 

 

Bruno Montagnes ©

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Rédigé par Ville de Chatillon

Publié dans #Pensons et sourions à Chatillon

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Publié le 27 Janvier 2012

 

 

 

 

 

Dites à  quelqu'un qu'il y a 300 milliards d'étoiles dans l'univers et il vous croira, dites lui que la peinture n'est pas sèche, et il aura besoin de toucher pour être sûr.

  

 

Bruno Montagnes ©

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Rédigé par Ville de Chatillon

Publié dans #Pensons et sourions à Chatillon

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Publié le 27 Janvier 2012

 

   

 

 

 

Les historiens du Berry désignent cette région comme le pays privilégié des meneux de loups et jeteux de sorts.La croyance aux meneux de loups est répandue dans toute la France. C’est le dernier vestige de la légende si longtemps accréditée des lycanthropes. En Berry, où déjà les contes que l’on fait à nos petits enfants ne sont plus aussi merveilleux ni aussi terribles que ceux que nous faisaient nos grand’mères, je ne me souviens pas que l’on m’ait jamais parlé des hommes-loups de l’antiquité et du moyen-âge. Cependant on s’y sert encore du mot de garou qui signifie bien, à lui tout seul, homme-loup; mais on en a perdu le vrai sens. Le loup-garou est un loup ensorcelé, et les meneux de loups ne sont plus les capitaines de ces bandes de sorciers qui se changeaient en loups pour dévorer les enfants; ce sont des hommes savants et mystérieux, de vieux bûcherons ou de malins gardes-chasse, qui possèdent le secret pour charmer, soumettre, apprivoiser et conduire les loups véritables.

 Je connais plusieurs personnes qui ont rencontré, aux premières clartés de la lune, au carroi de la Croix-Blanche, le père Soupison, surnommé Démonnet, s’en allant tout seul, à grands pas, et suivi de plus de trente loups.

Une nuit, dans la forêt de Châteauroux, deux hommes, qui me l’ont raconté, virent passer sous bois, une grande bande de loups. Ils en furent très effrayés et montèrent sur un arbre, d’où ils virent ces animaux s’arrêter à la porte de la hutte d’un bûcheron. Ils l’entourèrent en poussant des hurlements effroyables. Le bûcheron sortit, leur parla dans une langue inconnue, se promena au milieu d’eux, après quoi ils se dispersèrent sans lui faire aucun mal. Ceci est une histoire de paysan. Mais deux personnes riches, ayant reçu de l’éducation, gens de beaucoup de sens et d’habileté dans les affaires, vivant dans le voisinage d’une forêt où elles chassaient fort souvent, m’ont juré, sur l’honneur, avoir vu, étant ensemble, un vieux garde-forestier, de leur connaissance, s’arrêter à un carrefour écarté et faire des gestes bizarres. Ces deux personnes se cachèrent pour l’observer et virent treize loups, dont un énorme alla droit au charmeur et lui fit des caresses; celui-ci siffla les autres, comme on siffle des chiens, et s’enfonça avec eux dans l’épaisseur du bois. Les deux témoins de cette scène étrange n’osèrent l’y suivre et se retirèrent aussi surpris qu’effrayés. Ceci me fut raconté si sérieusement que je déclare n’avoir pas d’opinion sur le fait.

 

 

George Sand

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Rédigé par Ville de Chatillon

Publié dans #Contes Berrichon

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Publié le 27 Janvier 2012

RECETTES BERRICHONNES

 

 

 

 

 

 

 

Soupe à la citrouille

 

 

 

Eplucher, épépiner et couper en morceau tout ou partie d'un potiron.
Cuire à l'eau salée. Egoutter.
Passer en purée et éclaircir celle-ci de lait. Saler et poivrer.
Servir avec des croûtons de pain de seigle grillés.

 

 

 

 

 

 

Pâté de Pâques

 

 

 

 

 

Hacher 1 Kg de porc frais et 500 g de veau avec du persil, un gros oignon. Saler et poivrer.
Cuire durs 8 oeufs . Les peler et les couper en deux dans la longueur.
Faire une épaisse pâte brisée. Disposer dessus la moitié de la farce puis les demi-oeufs durs.
Sur chaque demi-oeuf poser une noisette de beurre et râper un peu de muscade. Recouvrir de l'autre moitié de la farce puis d'une abaisse de pâte. Souder les bords des deux abaisses.
Dorer la surface à l'oeuf battu.
Cuire deux heures au four doux.

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Rédigé par Ville de Chatillon

Publié dans #Cuisine Berrichonne

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Publié le 27 Janvier 2012

La Brenne

 

 

Situé à 20 kms des étangs de la Brenne ,Chatillon sur Indre vous offre un vaste territoire de promenades champêtre et ressourçantes.

 La baignade n'est pas oubliée avec le très belle étang de Bellebouche.

Aux marges du Berry, la Brenne était une zone marécageuse infertile. Ne sachant qu'y faire pousser, les moines, au XIIe siècle, eurent l'idée d'y emprisonner les eaux et de créer de longs chapelets d'étangs. C'est l'aspect le plus frappant du paysage tel qu'on le voit aujourd'hui.

Environ 2 000 espèces d'insectes[] sont référencées à ce jour, principalement des lépidoptères et des coléoptères. Sur une estimation d'environ 12 000 à 15 000 insectes potentiellement présents, on dénombre 61 espèces de libellules sur les 91 que compte la France, de belles populations de Cétoines et de Lucanes cerf-volant liées aux vieux chênes, ainsi que des papillons rares comme l'Azuré des mouillères, le Grand cuivré et le Damier de la succise.

Le parc compte 32 espèces de poissons[], dont le Lamproie de rivière, le Lamproie marine et le Lamproie de Planer. La suppression du barrage de Maisons rouges sur la Creuse, laisse espérer le retour du saumon...

En Brenne se rencontrent 15 des 28 espèces françaises d'amphibiens[] dont le rarissime Pélobate brun, le Triton marbré, le Triton crêté et le Sonneur à ventre jaune. De belles populations de Grenouille verte, de Rainette verte, de Crapaud calamite et de Pélodyte ponctué animent les étangs en période de reproduction.

Parmi les reptiles présent dans le parc, l'animal emblématique est la Cistude d'Europe qui trouve ici un lieu de prédilection. Plusieurs dizaines de milliers d'individus font ainsi de la Brenne, la première région française pour cette espèce. Parmi les 9 autres espèces présentes, on note l'abondance de la Vipère aspic, des Couleuvre à collier, Couleuvre vipérine verte et jaune et du Lézard vert.

 

La Brenne figure au 4e rang des zones humides françaises d'importance internationale, selon la classification UICN, avec plus de 200 espèces d'oiseaux aquatiques visibles au cours de l'année. Son intérêt concerne, avant tout, les espèces nicheuses (40) comme le Grèbe à cou noir, le Grand butor, le Blongios nain, le Busard des roseaux et la Guifette noire. En hivernage, les étangs retiennent régulièrement 12 000 Canards, 600 Grèbes, 3 000 Foulques, 1 500 Cormorans, 150 Grandes Aigrettes et 35 000 Vanneaux auxquels viennent s'ajouter quelques Garrot à œil d'or, Harle piette, Harle bièvre, Fuligule nyroca et Pygargue à queue blanche. En période de migration, on observe de beaux passages de limicoles (Chevalier combattant, Barge à queue noire...) et de grues qui survolent la Brenne par milliers.

 

Il est possible d'observer jusqu'à 267 espèces d'oiseaux terrestres nichant sur le parc comme l'Engoulevent d'Europe, la Bondrée apivore, l'Aigle botté, le Courlis cendré, l'Oedicnème criard, le Busard cendré et l'Outarde canepetière ainsi que dans les milieux agricoles, la Fauvette pitchou et le Busard Saint-Martin dans les landes.

 

Une des grandes caractéristiques de la Brenne est la présence de populations très importantes de grands mammifères (cerf, chevreuil, sanglier en expansion). Dans les étangs, on observe un grand nombre de Ragondins et Rats musqués. Des espèces comme la Genette et le Loir sur les vallées, le Campagnol de Gerbe et de bonnes populations de chauves-souris sont aussi observables sur le territoire. À noter le retour de la loutre et du castor depuis quelques années.

 

 

La Brenne (1)

 

 

La Brenne (2)

 

 

La Brenne (3)

 

 

La Brenne (4)

 

 

La Brenne (5)

 

 

La Brenne (6)

 

 

La Brenne (7)

 

 

La Brenne (8)

 

Source:Texte de Jp et de Wikipedia.Photos du net

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Rédigé par Ville de Chatillon

Publié dans #L'indre pittoresque

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Publié le 26 Janvier 2012

Que veut dire l'expression suivante:

 

 

 

 

 

 

 

"V'la que l'temps s'abernaudit, y va ben nous tomber une r'napée"

 

 

**************************************************** 

 

 

 

 

Pour connaitre la solution,mettez en "surbrillance" entre les guillemets.

 

 

" Le temps se couvre, il va pleuvoir "

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Rédigé par Ville de Chatillon

Publié dans #En vrac

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Publié le 26 Janvier 2012

 

Photos par JP ©

 

Canal et jardin public.JP (5)

 

 

 

 

 

Canal et jardin public.JP (7)

 

 

 

Canal et jardin public.JP (8)

 

 

 

Canal et jardin public.JP (9)

 

Photos par JP ©

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Rédigé par Ville de Chatillon

Publié dans #Environnement aquatique

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Publié le 25 Janvier 2012

Rédigé par Ville de Chatillon

Publié dans #Folklore

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Publié le 25 Janvier 2012

 

 

JULIETTE : Entre Touraine et Berry, en bordure du parc de la Brenne, le gîte "Juliette" face au gîte "Célestin" vous accueille dans le domaine de Villerette datant du 15ème sc. (ferme en activité). Vous serez séduits par son environnement campagnard et rustique. Rdc: cuisine équipée - séjour - wc - 1 ch. (1 lit 2 pers) - salle d'eau. Etage : salon (TV) - salle d'eau - wc - 1 ch. (1 lit 160, lit bébé) - 1 ch. (3 lits 1 pers) - chauffage fuel (10 €/jour). Jardin privatif clos avec jeu d'enfants. Terrasse (vue sur l'étang (pêche). Options : location linge de lit, de toilette et de maison - forfait ménage.

Magali Grasset

06.23.62.88.23

Clion.Arpheuille

magali.grasset@wanadoo.fr

 

Capacité : 7 personnes

Nombre de chambres : 3 chambres

Surface : 100

 

 

 

 

 

      

 

  

 

 

  

 

 

 

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Rédigé par Ville de Chatillon

Publié dans #Gites et chambres d'hôtes

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Publié le 25 Janvier 2012

 

AM.Davaillon.JP.jpg

 

 

AM.Davaillon.JP--1-.jpg

 

 

 

AM.Davaillon.JP (2)

 

 

Chez Anne-Marie découvrez les châteaux de la Loire à 15 mn ou le parc Régional de la Brenne. Ce lieu calme et reposant est proche du Zoo de Beauval  (25 mn) et du sanctuaire de Pellevoisin . Anne-Marie vous accueille chaleureusement et en toute simplicité dans une maison traditionnelle du Berry. Elle a aménagé 4 chambres, dont 2 en 2 épis, et 2 chambres séjour 3 épis, avec ses salles de bains et toilettes individuelles, kitchenette (pour les chambres 3 épis). Toutes sont aménagées de lits 140cm (2 pers.). Dans ce havre de paix, un vaste et beau jardin d'agrément avec son potager, ses arbres fruitiers, son bassin aménagé, vous permet de partager avec les hôtes, ou simplement vous reposer.

A sa table d'hôte Anne-Marie vous fait goûter les produits du jardin, des produits de la région et au petit déjeuner ses confitures maison.

 

Anne Marie Davaillon

 

AM.Davaillon.Gite.Neige

 

 

AM.Davaillon.Gite.Neige (1)

 

 

AM.Davaillon.Gite.Neige (2)

"Les Bigornes"

Route de Blois

36700 Chatillon sur Indre

Tel: 02.54.38.89.01

 

source:Photos et texte de AM Davaillon.Mise en forme de JP. 

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Rédigé par Ville de Chatillon

Publié dans #Gites et chambres d'hôtes

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Publié le 25 Janvier 2012

 

 

Histoire de Juliette et Célestin telle quelle m'a été transmise par Magali Grasset

 

"Ce sont mes arrières grands parents "Juliette et Célestin" qui ont acheté le domaine de Villerette. A partir de 1911, ils furent métayers et le propriétaire décida de vendre. Ils achetèrent Villerette en 1930 et le donnèrent en héritage à mon grand-père Marcel Billard en 1940.

Mon grand-père avait un frère, Camille son ainé. Mais il meure avant ces vingt printemps à cause de la guerre de 14/18. Il se retrouve le seul héritier. En 1968, après avoir beaucoup travaillé ils prennent leur retraite, c'est mon père et une de ses sœur "Pierrette" qui hérite du domaine. Mon père en avait l'exploitation puisque sa sœur vivait à la Vernelle près de Valençays marié avec un viticulteur qui lui loue sa part. Mes cousins grandissent comme nous et décide de s'installer donc elle vend sa part  à mes parents " Jean et Viviane". Et un jour, ou je repartais de Villerette je dis à mon mari çà me fait mal au cœur de voir ces bâtiments se dégrader, si nous faisions quelque chose comme des gîtes. J'avais à l'époque une amie qui était architecte et elle m'avait envoyé un mail avec une histoire de grenouille travailleuse.

Et grâce à Isabelle Guénard (architecte et amie) qui m'a bien donné la main nous voilà partis à l'aventure , grâce à cette petite grenouille (anecdote).

J'espère aller jusqu'au bout de mes réalisations.

 

Il y a Tante Madeleine qui m'a parlé d'une chimère de dessiner sur une des cheminé et Odile une voisine qui dit avoir lu sur cette même cheminée "au vol d'un chapon un trésor est caché". tout dépend de quel côté notre chapon a volé. Il suffit d'y croire.

 

Pour l'histoire de la grenouille, je vous raconte vite fait :

c'est une petite grenouille qui décide de relever un défit,

avec ses copines elles décide de grimper en haut du plus haut building car tout le monde lui dit qu'elle n 'y arriverait pas,et la course commence.

Elle grimpe... grimpe ... grimpe

pendant ce temps là les autres abandonnent une à une,et en bas tout le monde discute, elle n'y arrivera  pas c'est trop dur, c'est trop haut, elle va se fatiguer et n'ira pas au bout, mais à force d'efforts elle atteint le sommet. Ce que tout le monde ne savait pas c'est quelle était sourde.

La morale de cette  histoire c'est qu'il faut essayer de grimper doucement mais surement, du moins je l'espère."

 

Texte de Magali Grasset

 

(Note de JP...Et la grenouille y est arrivée par le biais de ces deux magnifiques gîtes.)

 

 

 

 

  

 

Sur la rive de l'Ozance, le Domaine de Villerette, édifié au début du XVème sc., encore partiellement entouré de douves, a connu nombre de Seigneurs du Royaume de France. Le Célestin, aménagé dans la maison forte et sa tour, est situé sur une exploitation agricole en activité. Rdc : s. à manger/salon - cuisine équipée - wc. Etage : 2 ch. (1 lit 160, 2 lits 1 pers) - couchages enfants en 2 lits superposés dans alcôve ouverte sur grand palier - wc/salle d'eau - chauf. central élect. (10€/jour). Jardin privatif clos (salon de jardin, bain de soleil, barbecue). Etang (pêche). Options: location linge de lit, de toilette et de maison - forfait ménage.

 DOMAINE DE VILLERETTE

CELESTIN

DOMAINE DE VILLERETTE

36700 ARPHEUILLES

Téléphone : 02.54.27.58.61

Mail : resa36@berry.fr

Site web (URL) : www.gites-de-france-indre-berry.com

Site web (URL) : http://www.gites-villerette.fr

 

 

NB :Un historique de ce charmant lieu m'a été promis .

 

 

 

 

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Rédigé par Ville de Chatillon

Publié dans #Gites et chambres d'hôtes

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Publié le 25 Janvier 2012

Gites et chambres d'hôtes

 

 

Sur les 24 hectares que propose le Domaine de La Poignardière, vous pourrez pratiquer un grand nombre d'activités:

- Promenade dans le bois et autour de l'étang de 2,5 Hectares,

- Une partie de pêche et pourquoi pas en nocturne grâce au chalet les pieds dans l'eau,

- Une navigation en barque ou en Pédalo,

- Une partie de tennis entre amis,

- Un plongeon dans la piscine à débordement de 14 mètres,

- Une partie de volley,

- Une partie de pétanque sur le terrain aménagé,

- Vos enfants pourront profiter de l'air de jeux ( toboggan, balançoire)

Maryse LHEUREUX
La Poignardiére
36700 Chatillon sur Indre

Tél: 02 54 38 78 14
Mobile: 06 11 97 37 21

 

 

Source: http://lapoignardière.fr

 

 

 

NB :Un historique de ce charmant lieu m'a été promis .

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Rédigé par Ville de Chatillon

Publié dans #Gites et chambres d'hôtes

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Publié le 24 Janvier 2012

 

 

Né à Vierzon le 29 mai 1926, Patrick Raynal grandit dans une famille modeste, avec un père communiste.
Enfant espiègle, il comprend vite que la plus grande liberté dans la vie est celle de l'esprit.
Après la guerre, il décide à 20 ans de faire le métier d'artiste.
Patrick Raynal, de son vrai nom Bernard Giraud est originaire de Vierzon, c'est à l'armée qu'il avait débuté en imitant Charles Trenet, et les conscrits le nommaient « le fou chantant vierzonnais ».
Il avait entamé, après la guerre de 1939/1945, une carrière d'artiste de music-hall, comique-paysan, fier de son terroir.
Amuseur-né, il avait inventé le personnage de Berlodiot, caricature de l'habitant du Berry profond, avec son accent qui ne l'avait jamais quitté.
Il part à Tours en train tenter sa chance. Puis il monte à Paris. Et c'est le début d'une belle carrière qui durera 50 ans.
Il se produira dans les grands cabarets parisiens : le Caveau de la République à l'esprit libertaire, un lieu mythique qui a lancé beaucoup d'humoristes et d'imitateurs. Cette salle de 450 places verra les débuts de Pierre Dac, Sim, Francis Blanche qui deviendront ses amis.
Patrick aidera des chanteurs à démarrer leur carrière comme Enrico Macias ou Patrick Sebastien.

 

 

Les expressions de Patrick Raynal

 

99 moutons et 1 berrichon, ça fait 100 bêtes.

Un éveillé des chaumières.

Un gars de la commune.

Ca m'fou des lancements.

Dis y pas !

Qui que tu dis ?

Mais dis-moi qui que t'as fait çà ?

Qui que c'est ?

Où que t'y vas t'y donc ?

Faut pas que t'y fasse !

T'as t'y vu çà !

Tu viens t-y ?

Colonel Martin Gontrand de Puysegur de la Vallée de la Tour qui Penche.

Et pis c'est tout !

A la revoyure

 

 

source:http://www.patrick-raynal.fr

 

 

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Publié le 24 Janvier 2012

 

 

 

J'ai battu un record.
- Ah bon, lequel ?
- J'ai reussi a faire en 15 jours un puzzle
sur lequel il y avait écrit "de 3 a 5 ans".

 

  

 

Bruno Montagnes ©

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Rédigé par Ville de Chatillon

Publié dans #Reflechissons à Chatillon

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Publié le 24 Janvier 2012

Abali. Éventé, piqué.

 

Abarbeuiller. Ébarber, effeuiller, émonder.

 

Abâtlé. Il s'est abâtlé anqu'ène fumelle. Il s'est mis à courir avec une fille. Parler bornois.

 

Abatleu. Quelqu’un qui crie très fort

 

Abbateleux. Bateleur, arracheur de dents, saltimbanque.

 

Abe (une). Un arbre

 

Aberluter. Éblouir.

 

Aberluches, auberluches. Éblouissements, troubles de la vue.

 

Abernaudir (s'). Se gâter, se dit à propos du du temps.

 

Abobeu, aberlobu. Ahuri, abruti

 

Aboïfou. Étourdi

 

Aboïlée. Se dit  d’une femme  affaiblie après accouchement.

 

Aboiter. Donner à boire copieusement

 

Abonde.  Faire de l'abonde : fournir largement, augmenter le volume, en abondance

 

Abord que, d'abord que. Puisque, par le fait que.

 

Aborgeon (une), abergeon, r'borgeon. Sillon ou rang plus court que les autres à la pointe d'un champ

 

Aborneu (une) - métreur, arpenteur, géomètre

 

Aboter. Arriver au bout

 

Abouaquer. S'évanouir

 

Abouler. Donner. "Aboule moi ça".

 

Abourer, s'abourer. Abattre, s'abattre

 

Aboutounner. Boutonner

 

Abrazer, abraser, s'abraser - Écraser, détruire, user, s'abattre

 

Abreuvagé. Saoul

 

Abrier,  s'abrier. S'abriter du froid, de la pluie.

 

Abrivagé, ébervigé.  À moitié fou

 

Abron.  Mamelle

 

Abuter.  Commettre un abus ou un  délit.

 

Abrundir (s'). Se couvrir d'un vêtement.

 

Acaler. Écosser.

 

Acaboui, acafoui, écafoui. Écrasé physiquement ou moralement

 

Acagnarder (s'). Rester près du "cagnard" (poêle à charbon).

 

Acalanché, décalanché. Estropié,  éclopé.

 

Acarnifleux. Parasite, écornifleur.

 

Acartances (prendre ses). Prendre ses aises avec désinvolture.

 

Accagner.  Réprimander durement, provoquer, exciter.

 

Accalandre. Cigale. Qui chante bien.

 

Acconcrir. Créer

 

Accorgeant. Qui provoque le dégoût

 

Accoter, s'accoter. Fermer solidement, appuyer, s'appuyer

 

Accotiau, accotouére. Huisserie du "barriau".

 

Accoube.  Couple

 

Acouamellé. Écrasé sous un vêtement trop vaste,  sous une coiffure trop grande.

 

Accoubler, s'accoubler, (s') accoubiner.  Accoupler, s'accoupler

 

Accouer (s'). Se dit d'un poule qui veut aller "couer “ (couver).

 

Acorbir. Courber.

 

Acousiau. Tiroir dissimulé - pour cacher des objets de valeur.

 

Accroptounner (s’). S'accroupir

 

Accueillage. Louage

 

Accueillir. Louer un serviteur, prendre à son service

 

Accuter (s') . S'asseoir

 

Affougalé. Abruti.

 

Affourer.  Donner à manger aux bestiaux.  S'affourer. Manger avec grand appétit, ou goulûment. "Je suis entrain de m'affourer".

 

Affreuseté (une). Laideur, horreur, vilaine parole, insulte

 

Affroidiller. Refroidir.

 

Affronteux.  Effronté, insolent

 

Affruité. En pleine maturité

 

Affûter. Épier

 

Agât. Cri d'appel pour le bétail.

 

des oiseaux qui s'abattent sur une branche.

 

Aporciné, ée, — gras, grasse (comme un porc).

 

Appamir. S'évanouir, avoir un malaise.

 

Apparer. Égaliser.

 

Appâter.  Porter les aliments à sa bouche.

 

Appenter. Chagriner : "c't' affaire a m'appente bin.

 

Appoué. Posé.

 

Appouer (s'appouer). Se poser.

 

Appouée. Fourche servant à soutenir les branches trop chargées en fruits.

 

Approprir. Laver, nettoyer.

 

Anseuse. Femme qui ansait les pots. Parler bornois.

 

Apletant. Abondant.

 

Aplettes.  Instruments, outils, petit outillage.

 

Appointuser. Rendre pointu.

 

Après. Être en train de. "Quand je suis entré, la grosse Anne était après se déshabiller".

 

Arreuiller. Regarder avec des yeux vifs et intelligents. "Elle s'arreuille bien la drôlière". Regarder avec étonnement, bêtement. "Autour du charlatan les badauds s'arreuillent".

 

L'arcandier arcande. Il s'y prend mal, il fait beaucoup d'efforts pour peu de résultat. Parler bornois.

 

Arde. Pièce mobile de la charrette pour retenir le chargement.

 

Arder. Regarder

 

Ardoire  (vache). Vache en chaleur.

 

Ardrole. Mésange, petit oiseau,  enfant chétif.

 

Argader, arregarder. Regarder.

 

Arrivages. Légumes pour le pot au feu.

 

Arrivé.  Récolté : ce foin a été bien arrivé.

 

Arriver. Assaisonner : arriver le pot au feu,  y mettre les légumes.

 

Arrouser. Arroser.

 

Arnaré. Rusé.

 

Arnauder. Chercher querelle.

 

Artou. Doigt de pied. "Louise s'est enfoncé une épine dans le gros artou".

 

Assitouée. Siège.

 

Assotir. Étourdir. "Tu m'assotis, Paul, avec ton tambour".

 

Assouriller. Écouter intensément.

 

Atefier, atifier,atfier. Élever des volailles, élever, nourrir.

 

A tout tresse. Tout à fait

 

Attancher. Barrer un ruisseau pour retenir l'eau

 

Attentiounné. Attentif

 

Atteuré. Atterré

 

Att'lée. Portion de journée de travail avec attelage. Mouvaise att'lée, mauvais assemblage de bêtes attelées ou de gens.

 

Attrapouère. Attrape, piège, subterfuge

 

Attifiau. Pacotille.

 

Attifer. Habiller.

 

Attiger. Exagérer.

 

Atonnés. Des pots atonnés, des pots fêlés. Parler bornois.

 

Aubier (une). Saule

 

Aubérience. Nouveauté, expérience, invention

 

Auberluches, aberluches. Éblouissements, troubles de la vue. 

 

Aubertas. Complications, imbroglio.

 

Aubijon. Épine blanche en arbuste

 

Aubours. Couche entre l'écorce et le bois. Y a pas d'aubours : tout est de bonne qualité.

 

Au-dedans. À l'intérieur

 

Aumailles. Bovins

 

Augmenter. Enrichir une terre à l'engrais.

 

Auterment que d'ça. Sinon.

 

Auvu, avu, évu. Participe passé de voir.

 

Avalucence, avaluance. Valeur

 

Avançant. Actif et efficace au travail.

 

Avancer à rin. Être inefficace au travail

 

Avantageux. Actif et efficace au travail.

 

Avauriner. Faire toujours la même chose, s'y prendre de manière identique.

 

Avis, y a pas d'avis. Agir comme on veut, sans contre indication.

 

Aveindre. Prendre en allongeant le bras. Tu peux ti l'aveindre? Peux tu l'atteindre? Parler bornois.

 

Avoeille goutte, à l'avoeuille goutte. À l'aveuglette.

 

Avoine de curé. Poivre.

 

Avoinée. Rouée de coups ou d'insultes.

 

Avoiner. Prodiguer, nourrir d'avoine copieusement.

 

Avoineri. Champ semé d'avoine.

 

Avorat. Intéressé, qui ne pense qu'à lui même.

 

Avouène. Avoine.

 

Avouillette. Entonnoir.

 

Ayans. Glands

 

Cabasson. Au lavoir, caisse garnie de paille dans laquelle s’agenouillaient les lavandières.

 

Caberlot. Tête.

 

Cabin. Chevreau, on dit aussi chigat et chigot.

 

Cabiner. Mettre bas, se dit pour une chèvre.

 

 

Cafard. Punaise des bois.

 

Cafignon. Chausson.

 

Cafourniau, caforgnau. Débarras, fourre-tout, petite chambre.

 

Cagnaud. Honteux.

 

Cagnotte. Économies cachées, magot.

 

Cagouille. Escargot.

 

Cahu. Cri du chien battu. "Il en a poussé des cahus !"

 

Cahuler, cahuer. Crier, huer.

 

Caillaux. Dernier né.

 

Caille. Caillou.

 

Caillu. Ventru.

 

Caille-morte. Syncope.

 

Caillebottier. Jeteux de sort.

 

Caillotte. Toute petite pierre. "Elles s'amusent avec des caillotes".

 

Caillu, caillue. Dont le ventre est gros. "En voila une femme caillue".

 

Calabre. Cadavre.

 

Calade, faire calade. Défi, mettre au défi.

 

Calé. Rassasié, riche, bien vêtu.

 

Calibendo. Jupon de dessous.

 

Calinette. Coiffe nouée sous le menton.

 

Calon. Noix avec son brou.

 

Calougnier, calonnier, calognier. Noyer.

 

Camboisser. Courber, cambrer.

 

Cambuse. Mauvaise maison.

 

Cameau, camaud. Honteux, on dit aussi cagnaud.

 

Camiau. Nuage d’orage.

 

Camot. Honteux.

 

Campaine. Cloche au cou du mouton.

 

Campe, prendre la campe. Prendre parti pour quelqu'un, rabrouer.

 

Camus. Sorcier.

 

Canche. Mare.

 

Cancre. Usurier, avare.

 

Cancronner. Grogner.

 

Cani. Caneton.

 

Canillée. Lentille d'eau.

 

Canon. Caneton.

 

Canquoire. Hanneton.

 

Capiche, capot, capichon. Capuchon de laine couvrant la tête et les épaules des femmes.

 

Caqueriau, caqueziau. Moustique.

 

Caquin. Oeuf.

 

Caquoi. Nuque.

 

Caraque. Pie

 

Carquagnolle. Mauvaise viande, carne.

 

Carcalou. Colimaçon.

 

Carcassé. Moulu de fatigue.

 

Carnin. Jeune âne.

 

Carniot. Nuage noir.

 

Carroué, carroir, carrouge, carrou. Carrefour.

 

Cartille. Parcelle.

 

Carzon. Porcelet.

 

Casse. Chaudière en fonte à usage ménager.

 

Cataquoi. Chignon, catogan.

 

Catons. Grumeaux, boules, petits tas.

 

Cautient. Désagréable.

 

Cautientise. Méchanceté, malice.

 

Ceux. Ces.

 

Chaffeugner. Gratter dans les cendres.

 

Chafouin, chachouin. Grognon.

 

Châgne. Chêne.

 

Châgnon. Nuque.

 

Changni. Moisi.

 

Chantroler. Chanter, chantonner.

 

Charbonnette. Bois de taille destiné au charbon de bois.

 

Charibaude. Veillée en plein air.

 

Chatouille. Petite anguille, larve, utilisée comme appât.

 

Chaud raferdi, chaud r’fredi. Avoir un chaud-et-froid, attraper un refroidissement.

 

Chave. Trou.

 

Chaver. Creuser.

 

Chavon, chavoche. Hibou, chouette.

 

Cheveriau. Chevreau.

 

Chieuve. Chèvre.

 

Chigat, chigot. Chevreau nouveau né.

 

Ch’tit. Malin, avare, méchant. S’emploie aussi avec le sens de malade, petit, chétif.

 

Ch’tiveté. Méchanceté. Dépérissement, maladie. Avarice.

 

Clâs. Séchoir à pots au dessus de la boutique. Parler bornois.

 

Classiot, classiots. De la même classe, au service militaire.

 

Couisse. Une poule qui veut couer, couver.

 

Creuson, creuson d'pain. Morceau de pain duquel on a retiré la mie pour y mettre du fomage ou une raie de chocolat. Parler bornois.

 

Cocuasse. Cigüe.

 

Coffion. Coiffe.

 

Cognasse. Coing.

 

 

Colidon. Ouvrier.

 

Combien. Beaucoup. "Il est combien riche !"

 

 

Coussotte. Louche servant à puiser l'eau du seau.

 

Courail. Verrou.

 

Courailler. Verrouiller.

 

Courandier, couratier, coureux. Vagabond, coureur de filles.

 

Courater. Courir sans but.

 

Courine. Petite case à l'intérieur d'un meuble, d'un coffre ou d'un tiroir.

 

Coursière. Raccourci, chemin de traverse.

 

Coustement. Coût, prix, valeur, dépense.

 

Coûtance.  Coût élevé, cherté.

 

Coutanceux. Cher.

 

Coûté, coûsté. Côté.

 

Coutéger. Être côte à côte, serrer de près..

 

Coûton. Tige.

 

Coutumément. Habituellement.

 

Couvertis.Toiture.

 

Coyon. Mari qui se mêle du ménage.

 

Cramoue. Moue.

 

Cras, craillat. Crachat.

 

Crasses. Choses nuisibles, feuilles mortes, fruits verts, intempéries (neige, verglas) "il tombe des crasses".

 

Crela.Échalas.

 

Crenne. Chiendent.

 

Crésiller. Craquement du bois ou du métal avant la rupture.

 

Creuse de noix. Coquille de noix.

 

 

 

Crouillet, crouilloux. Verrou.

 

Crossin. Crochet.

 

Crôt, crô, crau. Mare, trou d’eau.

 

Crotter.. Creuser, faire un trou.

 

Cul jaune. Nom donné aux mineurs de fer : ils extrayaient le minerai dans des terres argileuses.

 

Cüer. Curer, nettoyer.

 

Cul de chaudron. Nuage d’orage, voir camiau.

 

Culard. Feu follet.

 

Cupas. Crachat.

 

Cuper. Cracher.

 

Curaille, curas, curon. Trognon, un curon de pomme.

 

Curter. Élaguer.

 

Tabélier. Tablier.

 

Tabouler. Battre quelqu'un, se dit aussi sur le mode plaisant.

 

Tâcheron. Homme employé à la moisson, au terrassement, rétribué à la tâche.

 

Tacot, l'tacot. Le chemin de fer à voie étroite, dit "Chemin de fer économique".

 

 

Tandiment que. Tandis que.

 

Tanner, tanner le cuir. Frapper du poing une personne.

 

Tant plus. D'autant plus.

 

Tant que là. Jusque là.

 

Tarabater.Faire du bruit.

 

Targette. Loquet.

 

Tartouffe, tartoufle.. Pomme de terre.

 

Tartiboulotte. Salsifi des prés.

 

Tâsses. Tâsses émaillées à la cendre pure qu'on utilisait comme "montres" (témoins) pendant la cuisson. Parler bornois.

 

Tassée. Se dit de plantes qui poussent en touffes. "Une tassée de cives, une tassée d'échalottes".

 

Tâte au pot. Qui se mêle aux affaires d'autrui.

 

Tatouan. Hypocrite.

 

Tâtoué. Tringle de fer au bout d'un manche, qui servait à retirer les tâsses en fin de cuisson. Parler bornois.

 

Taubar. Buse.

 

Taupin. Couleur de poil d'un animal, noir, ou gris taupe. Se dit aussi pour basané.

 

Taupine. Taupinière.

 

Tauraille, tauraillon, tauraiseau. Péjoratif pour taurillon, taureau chétif.

 

Taurin. Taurillon.

 

Tazon. Lambin.

 

Teindu. Teint.

 

Teins. Tiens.

 

Tel, telle. Dans le même état, resté tel.

 

Tende. Tendre.

 

Tentable. Ennuyeux, importun.

 

Tenter. Ennuyer, tourmenter, taquiner.

 

Tenou. Cuve, cuvier du vigneron.

 

Terbou. Bourrasque, tourbillon, tempête.

 

Terbouler. Touiller, mélanger, remuer, bouleverser.

 

Terluire. Luire, "ses yeux terluisent coum' des chandelles".

 

Terluster (se). S'agiter, se tourmenter, se faire du tracas.

 

Terrasse. Grande terrine, cuvette en grès.

 

Terrier. Emplacement pavé qui servait de réserve à terre glaise. Parler bornois.

 

Têteau, têtard. Arbre étêté pour en utiliser les tiges ou les branches, pour l’osier par exemple, ou comme bois de chauffage..

 

Têtier. Ouverture du four où se faisaient l'enfournement et le défournement. Parler bornois.

 

Teurer. Donner un coup de tête.

 

Tettes. Seins de la femme. Mamelles de l’animal.

 

Thou. Fossé, trou.

 

Tillot. Tilleul.

 

Timber. Tomber. "Timber d'liau", uriner.

 

Tine. Grand pot de terre pour la conservation de la viande, cuvier.

 

Tirer. Se servir (à table), prendre.

 

Tirer à. Avoir ressemblance, analogue à, avoir un rapport à quelque chose.

 

Tire à tire. À l'instant, tout de suite.

 

Tirpler. Tirailler.

 

Tissier. Tisserand.

 

Tondailles. Tonte des moutons.

 

Toqué. Avoir la cervelle fêlée.

 

Torgnolle. Coup sur la tête, gifle.

 

Tournelle. Petite tour, tourelle.

 

Torner. Tourner.

 

Touche aux nues. Homme petit.

 

Touche de fouet. Mèche du fouet.

 

Touchoire. Aiguillon.

 

Tournicou. Torticolis.

 

Tournure. Remplacement.

 

Tournure d'habits. Vêtements de rechange.

 

Tourtier. Râtelier à pain, accroché au plafond.

 

Tousse. Toux.

 

Toussi, toussi ! Cri pour chasser un animal.

 

Toussir. Tousser.

 

Tout à l'heure. À présent, maintenant. On dit aussi  : à c't'heure.

 

Toutaquamant. Patraque.

 

De tout en tout. Entièrement.

 

Tout partout. Partout.

 

Trace. Haie.

 

Traînailler. Traîner désagréablement en longueur.

 

Traine. Chemin boisé, chemin bordé de bouchures.

 

Trafit. Les affaires (hardes, mobilier, objets) de quelqu'un.

 

Tranché, lait tranché. Lait qui tourne à la cuisson.

 

Traversé. Enfant tapageur.

 

Traversin, faire du traversin. Aller de gauche à droite du chemin après avoir trop bu.

 

Trayon. Tas de fumier.

 

Treffe.  Pomme de terre.

 

Trempé, trempée. Pain trempé dans du vin sucré, ou du lait.

 

Treu. Homme sale.

 

Treue. Truie.

 

Treuiller. Boire trop, s'enivrer.

 

Triballe. Morceau de porc rôti.

 

Tricoler. Tituber.

 

Trigaut. Tricheur.

 

Tripé. Se dit d'un terrain mou, empli d'humidité.

 

Trousse. Repli cousu, ourlet, pour raccourcir un vêtement.

 

Truche. Pomme de terre.

 

Truffat. Pâté aux pommes de terre.

 

Truffe.  Pomme de terre.

 

Tondailles. Tonte des moutons.

 

Toucher. Soigner le mal par les signes,  la magie. On dit aussi barrer (le mal).

 

Toucheux. Guérisseur.

 

Touiller. Mélanger.

 

Touin. Pinson.

 

Tourtier. Ratelier à pain suspendu.

 

Tolon, toulon. Bonbonne en grès pour conserver l’huile de noix.

 

Tourtre. Tourterelle.

 

Toussir. Tousser.

 

Tout à. Très garni de, un champ tout à trous.

 

Tout en tout. Entièrement.

 

Tout partout. Partout.

 

Tout à l'heure. Maintenant, actuellement.

 

Torgnole. Coup sur la tête.

 

Torner. Tourner.

 

Tortin. Rusé.

 

Tortuserie. Acte de celui qui se plaît à faire enrager les autres. "Il n'a que la tortuserie dans la tête.

 

Toto. Niais.

 

Tournoué. Long bâton utilisé par le potier pour lancer son tour. Parler bornois.

 

Tourte. Grosse miche de pain.

 

Trace. Haie, bouchure, boucheture.

 

Trian. Fourche à fumier.

 

Trempé, trempée. Pain trempé dans du vin ou du lait.

 

Triballe. Morceau de cochon rôti.

 

Tribou. Tourbillon de vent.

 

Tribouler.  Mélanger en agitant.

 

Tridelles. Prunelles.

 

Tripé. Terrain mou et humide.

 

Trompe. Tromperie.

 

Trop ben. Beaucoup.

 

Trognard. Voir têteau, têtard.

 

Troufignon. Croupion de volaille.

 

Trouillé. Sale.

 

Trousser mal, on dit se trousser mal. Avoir un malaise, se sentir mal.

 

Tureau, ture, turlée. Colline, monticule, talus.

 

Turne. Cave, réduit, caverne, bouge.

 

Si vous voulez en savoir plus……….. http://www.gilblog.fr

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Rédigé par Ville de Chatillon

Publié dans #Folklore

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Publié le 23 Janvier 2012

La mère Pinguet, de la Chaune Sauteriot*, en Berry, avait le dos rond et couvert de mousse, comme les tuiles de son toit. Elle était surtout connue pour sa méchanceté. Lorsqu'elle traversait le village, appuyée sur son bâton, sa robe de cotonnade balayant la route, ses cheveux blancs voltigeant par mèches hors du bonnet, nul ne se souciait de lui adresser la parole.
Les paysans la tenaient pour sorcière. Ils racontaient, revenant des foires de la région, assez tard, la nuit, qu'ils l'avaient vue sortir maintes fois de sa demeure une lanterne allumée, balai à la main.
Sûrement à pareille heure, elle se rendait au sabbat ! A la vérité, elle allait simplement visiter ses poules dont les cris de détresse dénonçaient la présence dans leur poulailler d'une sauvagine dangereuse : belette ou putois.
Jamais personne n'entrait dans son taudis.
Les jours de mardi gras, elle s'y enfermait à double tour, depuis que les gamins de La Chaume-Sauteriot l'avaient poursuivie avec des sabres de bois en disant qu'ils allaient la couper en deux.
Un matin, tandis que la brise secouait sa porte close, la mère Pinguet, assise devant un maigre feu de brandes, grommelait :
"

- Qui qu'à me veut, c'te pie ? Enfin qui qu'à m'veut elle est peut-être ben envoyée par le mauvais esprit pour me jeter un sort."

Depuis trois jours, une pie venait chaque matin se poser sur le bord de sa fenêtre et semblait la narguer de son cri aigre et répété.
La vieille se coucha, ce soir-là, l'esprit très tourmenté. Il pouvait être minuit. Brusquement, une rafale glacée tourbillonna en sifflant dans la maison et souleva la cendre du foyer, mettant à nu deux tisons rouges.
La vieille se réveilla en sursaut. Le vent était reparti, laissant régner le silence et la nuit.
Alors la mère Pinguet perçut un bruit de pas sur les carreaux, des frôlements au pied de son lit. Suant de peur, elle enfouit sa tête dans les draps comme pour se protéger d'une chose mystérieuse dont elle se sentait vaguement menacée
Lorsqu'elle risqua le nez hors des couvertures, il lui sembla qu'autour d'elle l'air s'était épaissi, raréfié. Elle ne respirait plus.
Et voilà qu'un objet, pesant comme une pierre, mais dont elle n'aurait su dire la nature, venait de se poser sur sa poitrine, celà l'oppressait à J'étouffer.
Soudain, par la vitre givrée, le pinceau de la lune traça dans les ténèbres une grande raie bleue au milieu de laquelle apparut une chose étrange : la pie au funèbre plumage de velours noir et blanc se tenait immobile sur la poitrine de la vieille et fixait celle ci de ses prunelles de topazes ardentes.
La silhouette de l'oiseau était profilée sur le mur en ombre géante.
La mère Pinguet ne pouvait articuler un mot ni faire un mouvement.
Tout le reste de la nuit se passa ainsi.
Enfin, sur le matin, la pie disparut. La vieille l'entendit sautiller sur le carreau, descendre les marches, puis la porte restée ouverte se referma d'elle même.

"J'ai rêvé>", marmotta la vieille en se levant.

Elle alluma son feu, prépara sa soupe et sortit pour aller puiser de l'eau.
La première chose qu'elle vit, ce fut la pie qui claquetait du bec sur le bord de la fenêtre et lançait par intervalles son cri rêche et moqueur.
"

Attends un peu, bête du diable !" cria la vieille, s'armant d'un balai, "J'vas te faire venir troubler mon repos."

L'oiseau prit son vol saccadé dans le ciel qui était d'un bleu de lin fleuri.
Le soir tombant, la vieille tendit sur la fenêtre des baguettes enduites de glu, barricada sa porte et se coucha.
Elle ne pouvait dormir, l'oreille tendue aux lamentations du vent sous sa porte et dans les solitudes.
L'oiseau ne parut point.
Au premier coup de l'angélus, elle se leva. Deux ailes claquèrent aux vitres de la fenêtre. Elle sortit. Un éclair de joie traversa ses yeux. La pie était prise. La vieille s'en saisit et l'emporta dans son logis.
Elle la tenait entre ses doigts griffus, se demandant quel supplice elle allait lui infliger.
Ferait-elle de sa tête une pelote d'épingles ? Lui couperait-elle pattes et bec ? La brûlerait-elle à petit feu ?
Un diabolique sourire détendit ses lèvres pincées. Elle avait une idée.
ELLe ouvrit son coffre, y jeta la pie et, laissant retomber le couvercle comme la pierre d'un tombeau, elle prononça cette phrase :
"- Tu mourras de faim !"

Trois jours après, les voisines, ne voyant plus la vieille, se hasardèrent jusqu'à son logis. La porte était entrouverte. Craintives, elles entrèrent.
La mère Pinguet, étendue sur sa couche, venait de rendre le dernier soupir.
Comme les voisines cherchaient un drap pour l'ensevelir, elles ouvrirent le coffre et y trouvèrent le cadavre tout chaud de la pie.

 

*Soteriot:Sauterelle

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Rédigé par Ville de Chatillon

Publié dans #Contes Berrichon

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Publié le 21 Janvier 2012

Aquarelles.YP

 

 

 

Aquarelles.YP (1)

 

 

 

Aquarelles.YP (2)

 

 

Aquarelles de Y.Picard.

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Rédigé par Le blog de Chatillon

Publié dans #Artistes de Chatillon.

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Publié le 21 Janvier 2012

 

 Gateau pomme de terre

Truc:Cette galette peut se servir chaude ou froide.
Accompagnez-la d'un vin blanc fruité à consommer avec modération.

 

 

 

source:http://www.certiferme.com

 

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Rédigé par Ville de Chatillon

Publié dans #Cuisine Berrichonne

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Publié le 21 Janvier 2012

Photos par JP ©

Canal et jardin public.JP (17)

 

 

 

Canal et jardin public.JP (18)

 

 

Canal et jardin public.JP (19)

 

 

Canal et jardin public.JP (2)

 

 

Canal et jardin public.JP (3)

 

 

Canal et jardin public.JP (4)

 

Photos par JP ©

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Rédigé par Ville de Chatillon

Publié dans #Environnement aquatique

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Publié le 20 Janvier 2012

 

 

 

  patefarce.jpg 

 

 patesillons.jpg 

 

 

 patecuit.jpg 

 

 

 

 

patepaques1.jpg 

 

 

 

 Ingrédients (pour 6 personnes)
300 g de chair à saucisse - 100 de noix de veau - 2 tranches de jambon - 2 cuillères à soupe de chapelure - 1 cuillère à soupe de persil - 2 oignons - 2 cuillères à soupe de Cognac - 400 g de pâte feuilletée artisanale - 4 oeufs - 1 jaune d'oeuf - 10 g de beurre - 30 g de farine (pour étaler la pâte) - sel et poivre.
Temps de préparation : 30 minutes
Niveau : facile
Coût : moyen

1- Faites durcir les oeufs.

2- Pendant ce temps, préparez votre farce. Mixez ensemble les tranches de jambon, les oignons, la chapelure, le persil et la noix de veau coupée en dés.

3- Mélangez à la main cette chapelure avec la chair à saucisses. Salez et poivrez.

4- Etalez la pâte feuilletée avec le rouleau à pâtisserie et réalisez un rectangle de 22 cm x 16 cm et un autre de 26 cm x 20 cm. Logiquement avec les 400 g de pâte, il ne vous en reste pas.

5- Beurrez et farinez un moule assez large pour contenir le pâté. Disposez le plus petit rectangle de pâte dedans et déposez la chair au milieu. Façonnez-la en rectangle de manière à laisser 2 cm de chaque côté. Ecalez les oeufs durs et incrustez-les dans la farce.

6- Recouvrez la chair avec le deuxième rectangle de pâte feuilletée et repliez les bords. Avec un pinceau, badigeonnez le pâté avec le jaune d'oeuf et scellez bien les bords à l'aide d'une fourchette. Façonnez ensuite des dessins sur le pâté. Pensez à faire deux petits trous sur le dessus de la pâte pour que la vapeur d'eau puisse s'échapper.

7- Enfournez (sans préchauffage) à 190°C pendant 1 h 15, et pas moins, car la farce ne serait pas assez cuite.

En accompagnement, proposez une salade verte ou des pissenlits.

 

Source:http://www.cuisine-campagne.com

 

 Note de JP: La recette ci dessus est d'aprés le site un veritable paté berrychon élaboré par de vrais........Berrychon.J'ai assité personnellement à l'elaboration d'un tel paté chez une de mes cousines qui se trouve.......à Chatillon.On ne peut faire plus authentique.

 

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Rédigé par Ville de Chatillon

Publié dans #Cuisine Berrichonne

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