Publié le 31 Mars 2014
Publié le 31 Mars 2014
Aquarelles d'Yvonne PICARD née le 17 décembre 1923 et décédée à Chatillon sur Indre le 11 mars 2013.Passionnée de dessin dès son plus jeune âge, elle ne put malheureusement s'exprimer dans cet art si particulier qu'au moment de son installation pour sa retraite avec son mari, originaire de Chatillon sur Indre.
Publié le 26 Mars 2014
Aquarelles d'Yvonne PICARD née le 17 décembre 1923 et décédée à Chatillon sur Indre le 11 mars 2013.Passionnée de dessin dès son plus jeune âge, elle ne put malheureusement s'exprimer dans cet art si particulier qu'au moment de sa retraite et de son installation avec son mari, originaire de Chatillon sur Indre à Chatillon au lieu dit "La Pierre Plate".
Publié le 26 Mars 2014
Aquarelles d'Yvonne PICARD née le 17 décembre 1923 et décédée à Chatillon sur Indre le 11 mars 2013.Passionnée de dessin dès son plus jeune âge, elle ne put malheureusement s'exprimer dans cet art si particulier qu'au moment de sa retraite et de son installation avec son mari, originaire de Chatillon sur Indre à Chatillon au lieu dit "La Pierre Plate".
Publié le 25 Mars 2014
Publié le 25 Mars 2014
Les photos ci jointes ont été prises grâce à l'amabilité de Monsieur Gérard NICAUD, responsable de l'office de tourisme de Chatillon sur Indre. Celui-ci ayant mis à ma disposition (Malgré la fermeture hivernale) les clefs pour accéder au sommet de la Tour César. Un point de vue sans pareil dans la région.
Publié le 24 Mars 2014
Le coq et la girouette
La girouette qui orne la plupart des clochers pour indiquer le sens du vent est une des silhouettes les plus familières de nos campagnes. La figurine surmontant sa flèche représente généralement un coq, selon une tradition religieuse dont l'origine est souvent ignorée. L'explication se trouve dans l’Évangile, lorsque Jésus dit à Pierre : aujourd'hui, avant que le coq chante deux fois, tu auras affirmé que tu ne me connais pas.
Au IX e siècle, le pape Nicolas Ier décida de commémorer cette prédiction en ordonnant qu'un coq coiffe le clocher le plus élevé de toutes cathédrales ou églises. Comme on utilisait déjà des girouettes, on les surmonta d'un coq.
(source le net)
Girouette et coq placés au sommet de la collégiale de Chatillon sur Indre
Photo de JP ©
ORIGINE de la girouette
GIROUETTE : plaque de fer-blanc qui est mobile sur une queue ou un pivot, qu’on met sur les tours et la pavillons pour connaître de quel côté souffle le vent. Ce mot vient de « gyrus » ou de « gyro ». Quelques auteurs l’ont appelé ventillogium quasi index venti.
Le mot n’existe sous sa forme moderne dans la langue française que depuis 1509, c’est-à-dire bien après que les premières girouettes furent créées. Le mot girouette semble devoir son origine à une altération de l’ancien normand « WIRE WITE », lui-même provenant de l’ancien nordique « VEDRVITI ».
L’usage de placer un girouette sur un édifice semble venir du fait que la prise de possession d’un fief se marquait par la pose d’une bannière. Le titre de chevalier banneret procurait des privilèges, dont celui de mettre une girouette carrée sur sa demeure. Le simple chevalier ne pouvait poser qu’une girouette en forme de pennon. Des girouettes furent donc érigées portant à la vue de tous les titres du propriétaire. En même temps qu’on codifia ses armoiries, on les porta sur les girouettes. Il en va des girouettes comme des armoiries.
Texte source: le net
Publié le 19 Mars 2014
Les photos ci jointes ont été prises grâce à l'amabilité de Monsieur Gérard NICAUD, responsable de l'office de tourisme de Chatillon sur Indre. Celui-ci ayant mis à ma disposition (Malgré la fermeture hivernale) les clefs pour accéder au sommet de la Tour César. Un point de vue sans pareil dans la région.
Publié le 15 Mars 2014
Les photos ci jointes ont été prises grâce à l'amabilité de Monsieur Gérard NICAUD, responsable de l'office de tourisme de Chatillon sur Indre. Celui-ci ayant mis à ma disposition (Malgré la fermeture hivernale) les clefs pour accéder au sommet de la Tour César. Un point de vue sans pareil dans la région.
Publié le 12 Mars 2014
Un peu d'histoire
Le château apparaît dans les textes du XIIIe siècle et XIVe siècle comme un lieu de séjour occasionnel du roi. Il est doté d'un personnel permanent :
Philippe III est au château de Châtillon du 26 au 30 novembre 1283,
Philippe IV est à Châtillon en mai 1289, août 1305 et avril 1307,
Jean II, alors prince héritier, y séjourne entre novembre 1345 et février 1346.
Peu de travaux sur le château sont mentionnés pour cette époque. En 1304 et 1305, des réparations sont faites sur la « Grosse Tour » (qui ne s'appelle pas encore Tour de César) par Jean de Louvres (qui n'est pas l'architecte du Palais des Papes). C'est la première mention écrite sur le donjon.
Le château a fait partie du duché de Touraine à une date inconnue. Elle est certaine par Louis Ier d'Orléans, duc de Touraine entre 1386 et 1392.
Louis d'Amboise, vicomte de Thouars, utilise le château de Châtillon comme prison en 1432.
Le château retourne ensuite au domaine royal comme le montre les nominations des capitaines du château, en 1441 et 1466. Le 20 février 1473, Tanneguy du Chastel, neveu de Tanneguy III du Chastel, principal conseiller du roi Louis XI, rend hommage lige au roi pour le château, terre et seigneurie de Châtillon. C'est probablement à cette époque qu'a été réalisée la porte d'en bas, au nord-ouest de l'enceinte, et dégagée en 1986. La veuve de Tanneguy du Chastel,Jeanne Raguenel, a conservé l'usufruit de la seigneurie. Puis Charles VIII donne Châtillon à son épouse Anne de Bretagne, le 11 octobre 1493. Elle habita au château et y fit faire des travaux. Mais le 18 mai 1494 elle a obtenu d'échanger le château de Châtillon contre celui de Mehun-sur-Yèvre. Charles VIII a séjourné à Châtillon du 9 au 14 avril et en juillet 1496. Louis XII a donné le duché de Berry avec la château de Châtillon à sa première épouse répudiée Jeanne de France. Elle obtient de l'archevêque de Bourges de faire bénir et consacrer la chapelle Notre-Dame du Château en 1499. À sa mort, en 1505, Châtillon fait retour au domaine royal.
François Ier donne à Charles du Solier, seigneur de Morette, la terre et seigneurie de Châtillon, le 28 mars 1524. Henri II reprend Châtillon en novembre 1547 qui fait partie du doueire de la reine Éléonore d'Autriche. Il fait retour au domaine royal à sa mort en 1558. Il en ressort quand il fait partie du complément d'apanage de François d'Alençon, en 1576. Il assigne la terre de Châtillon à Louis de Hacqueville, sieur de Neuville. La terre est reprise par Henri III en 1589 qui l'engage par 6 000 écus à Jean Marterau au nom de Florent Guyot, seigneur de Lessart. Louis de Hacqueville reçoit une rente en compensation de Châtillon par un arrêt de 1607.
Claude Chastillon a fait un dessin du donjon et de sa chemise vers 1600.
Florent Guyot, seigneur engagiste, fait faire d'importants travaux de fortification et des réparations. Le 19 décembre 1605, Florent Guyot vend la seigneurie de Châtillon à César de Bourbon, duc de Vendôme. Le roi a conservé le pouvoir de nommer le capitaine du château et de la ville qui est alors une place de sûreté des protestants.
Le 19 février 1648, Georges Ysoré a acheté la terre de Châtillon à César de Vendôme. Il fait faire d'importants travaux dans le château. Il est encore seigneur par engagement en 1661. Son fils René lui succède. La terre est saisie puis adjugée le 3 février 1681 à Paul Barillon d'Amoncourt. Il donne la terre de Châtillon en dot à sa fille pour son mariage avec Denis-Jean Michel Amelot de Chaillou, le 19 avril 1688. Après un demi-siècle de procédures, il a obtenu l'échange avec le roi des terres et maisons près du parc de Versailles contre Châtillon qui sort du domaine royal par un acte du parlement, le 7 septembre 1745. Jean-Jacques Amelot de Chaillou a succédé à son père à sa mort, en 1746. La terre de Châtillon est restée dans la famille Amelot jusqu'à la Révolution, avec Antoine-Jean qui meurt à la prison du Luxembourg, en 1795.
L'ingénieur Delalande venu estimer des travaux de démantèlement fait un plan du château à l'an III de la République. C'est le plus ancien plan du château.
Le 3 janvier 1797, les héritiers d'Antoine-Jean Amelot vendent le château, sauf le donjon, en sept lots. Le logis est découpé en quatre parcelles. Le donjon est vendu par Mme Amelot à Philippe Robin de La Cotardière le 11 novembre 1809. Le cadastre de 1812 montre que le château est découpé en une quarantaine de parcelles.
Le 10 février 1867, le donjon et sa chemise sont donnés à la commune par Édouard de La Cotardière. À partir de cette date, la commune a fait des travaux dans le château3
en 1876 : réfection de l'escalier reliant le château à l'église Notre-Dame. On ne sait pas à quelle date il avait été construit ;
en 1885 : l'architecte fait un devis pour construire une école publique de garçons construite entre 1887 et 1889. Les murs sud de l'enceinte du château se trouvant entre la place du château et la place du marché sont détruits pour construire l'école. Un escalier est construit sur la descente de Bretagne ;le donjon est classé le 14 juin 1909,
Entre les deux guerres mondiales, une caserne de pompiers est installée dans les anciennes prisons, ce qui a conduit à une transformation de la façade ;en 1924, la tourelle du front nord-est de la chemise du donjon classé en 1909 est écrêtée et rehaussée pour installer un réservoir en béton pour alimenter une parcelle privée située en contre-bas ;
En 1930 le commune transforme le donjon pour installer un château d'eau dans sa partie haute avec la construction d'une citerne en béton armé et un escalier extérieur en ciment pour accéder au premier étage qui a été démonté par la suite. À partir de cette date, il est possible aux visiteurs de monter au sommet du donjon ;
Le 25 mai 1932, la ville a acheté deux parcelles de l'ancien logis. Elle fait aménager ces bâtiments pour y installer des salles de réunion, une salle de patronage laïc et une salle de spectacle par les architectes Albert Laprade et Jean Varaine. Les nouvelles installations sont inaugurées en 1935 ;
Le 21 octobre 1932, les façades et toitures du logis sont inscrites à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques, mais les intérieurs ne semblent pas protégés ;en 1940, des obus provoquent des brèches dans les parements extérieurs ;en 1954, 1955 et 1957, restauration du donjon à la suite de dégâts provoqués par des bombardements ;
Entre 1976 et 1978, un bâtiment est construit par l'architecte Brigand contre le corps principal du logis pour modifier les aménagements de Laprade et Varaine ;
En 1980 commence le premier plan de restauration du château sous la direction de l'architecte Yves-Marie Froidevaux. La porte d'en bas4 qui a dû être construite dans le dernier tiers du XVe siècle et semble avoir été laissé inachevée, a été dégagée en 1986 ;
Entre 1999 et 2011, les différentes parties du château avec sa chapelle ont été inscrites et classées au titre des Monuments historiques.
Un peu de technique
D'une hauteur de 30 m environ dont 18 m hors du sol, la tour maitresse est partagée en deux niveaux principaux par une coupole en maconnerie.Les deux niveaux étaient recoupés par des planchers qui ont disparu.Au sommet de la tour,entre la dalle en béton et la terasse,on voit le bassin du premier chateau d'eau de Chatillon,construit en 1930,qui a rendu la tour visitable
Publié le 12 Mars 2014
La Tour César, plus ancien donjon cylindrique voûté de France, fut Construite au XIIème siècle par Henri II Plantagenêt, comte d’Anjou et roi d’Angleterre
Occupant un angle de la forteresse, elle est pourvue de son propre rempart, la chemise. Haute d'une vingtaine de mètres elle domine le Chatillonnai et la vallée de l'Indre.
Après avoir comporté quatre niveaux, elle servit de château d'eau à partir de 1930. Une lunette panoramique est installée au sommet du donjon et permet d'admirer la campagne châtillonnaise sur plusieurs kilomètres alentour.
Un point de vue imprenable.
Le prix de la visite guidée ….. 1 Euro par personne. D'après un renseignement récent (Mars 2014).
Pour tous renseignements contactez l'office de Tourisme de Chatillon sur Indre.
Tél 02.54.38.74.19
Important: L'ascension demandant une certaine souplesse, il est déconseillé, si vous avez des problèmes de santé ou une infirmité importante de ne pas tenter la visite. Un avertissement en ce sens, à l'intérieur du donjon vous rappelle que la montée se fait aux risques et périls de celui qui la fait. Les enfants non accompagnés ne sont pas autorisés.
Photo vue du ciel: source le net
Publié le 11 Mars 2014
Les photos ci jointes ont été prises grâce à l'amabilité de Monsieur Gérard NICAUD, responsable de l'office de tourisme de Chatillon sur Indre. Celui-ci ayant mis à ma disposition (Malgré la fermeture hivernale) les clefs pour accéder au sommet de la Tour César. Un point de vue sans pareil dans la région.
Publié le 9 Mars 2014
Monté au sommet de la Tour César à Chatillon sur Indre, j'ai put assisté a une bataille aérienne entre corvidés. Bruit garanti .Pour plus de facilité j'ai agrandi les deux endroits du ciel ou se produisent les combats.
Publié le 6 Mars 2014
Photos prises au lieu dit "La Pierre Plate".
Publié le 5 Mars 2014
Arbres en fleurs de la region de Chatillon sur Indre dans le Berry.
Publié le 2 Mars 2014
Les photos ci jointes ne sont pas ......terribles.A ma décharge je n'ai pas eu beaucoup de temps pour mettre au point et photographier ce que je crois être une Buse variable.les herbes devant l'animal ont perturbées l'auto focus et je n'ai rien put faire car au bout du troisieme cliché ,l'on m'avait repéré,bien qu'étant assez loin et caché.
Publié le 2 Mars 2014